La curiosité

L’utilisation de nouvelles technologies est devenue incontournable au sein de toutes les sociétés. Or, elles sont en perpétuelles évolutions. Par conséquent, les logiciels de comptabilité qu’on utilise au sein des entreprises s’améliorent aussi au fil de temps. La curiosité est alors une qualité que doit avoir un bon comptable. Il se doit de se tenir au courant sur les dernières versions des logiciels. Mais, il doit aussi être capable de voir au-delà des chiffres lors de l’analyse des résultats.

La rigueur

Un bon comptable se doit également d’être à la fois rigoureux et méthodique dans son travail pour qu’il puisse assurer la gestion de la trésorerie efficacement. À cause des missions qui lui sont allouées, il doit veiller à la bonne coordination de toutes les opérations comptable au sein de l’entreprise. La rigueur lui permet alors de ne faire aucune erreur.

Le bon sens

Certaines décisions doivent être prises par le comptable. Parfois, la prise de décision doit même se faire sans qu’il dispose de tous les éléments nécessaires entre ses mains. En plus de cela, un bon comptable est tenu de trouver des solutions pour la prévention de certains conflits. Face à ces situations inaccoutumées, un bon comptable doit alors faire appel à son bon sens pour éviter de rendre la situation encore plus compliquée.

La notion de leadership

Un bon comptable doit être capable d’anticiper les évènements. Il doit aussi être en mesure d’établir une bonne communication entre ses collègues et de les convaincre de travailler efficacement. Mais par-dessus tout, un bon comptable doit être entièrement autonome dans tout ce qu’il entreprend. La notion de leadership est alors une qualité qui lui est essentielle pour qu’il puisse être capable de motiver et de gérer son équipe et de ne pas prendre de mauvaises décisions.

En quoi consiste la comptabilité analytique ?

La comptabilité analytique est principalement un outil qui permet de traiter les données financières. Son principal objectif est d’analyser les résultats financiers. Si la comptabilité générale permet d’avoir une vision globale de la situation financière d’une entreprise, la comptabilité analytique permet d’avoir une vision plus détaillée de toutes les activités. Il est à noter que la comptabilité analytique se base intégralement sur la comptabilité générale.

Quelles sont ses utilités ?

Grâce à la comptabilité analytique, il est possible de déterminer les coûts des diverses fonctions qu’assure l’entreprise. On peut identifier les moindres détails de chaque opération : production, vente, service après-vente… Elle est considérée comme étant un système de mesure à la fois neutre et objectif. Outre cela, la comptabilité analytique sert également à définir les bases d’évaluation de quelques points essentiels du bilan comptable. Elle permet, par exemple, de faire une évaluation des stocks. Pour finir, la comptabilité analytique constitue un outil de contrôle budgétaire efficace. En effet, elle permet d’établir des prévisions budgétaires, d’étudier leur réalisation ainsi que de trouver une explication aux éventuels écarts.

Est-ce que la tenue d’une comptabilité analytique est obligatoire ?

Jusqu’à présent, il n’existe pas encore une loi qui stipule que toutes les entreprises doivent tenir une comptabilité analytique. En revanche, bien qu’elle ne soit pas obligatoire, elle est quand même très recommandée. En fait, elle facilite la réalisation de divers calculs liés à la gestion des stocks et à la détermination des coûts.

Quelles sont les méthodes utilisées en comptabilité analytique ?

Elles sont assez nombreuses. En fait, lorsque les entreprises choisissent les méthodes de comptabilité analytique à adopter, elles doivent d’abord définir ses attentes et ses besoins. Ce n’est qu’après qu’elles prennent une décision. La méthode des coûts variables convient par exemple pour définir les dépenses de l’entreprise liées à son activité. La méthode des sections homogènes et des coûts complets est, quant à elle, plus compliquée et permet de déterminer les coûts indirects et directs de l’entreprise.

Dresser un budget et se fixer des règles pour ses finances

La recherche des finances saines commence par l’établissement d’un budget. Il s’agit d’un simple tableau à deux colonnes qui détaillent vos dépenses sur un côté et vos revenus sur l’autre. Faites la somme respective de deux colonnes. Si le résultat de la soustraction entre le total des revenus et celui des dépenses est positif, alors vous pourrez économiser de l’argent ou financer un projet par des fonds propres. Dans le cas d’un chiffre négatif, vous aurez à réduire les dépenses ou trouver une source supplémentaire de revenus.

Dépenser moins d’argent en éliminant les sorties d’argent superflues

Les finances saines riment avec des dépenses bien contrôlées. Ainsi, il vous faut dresser une liste de toutes les sorties d’argent. Commencez par les charges fixes telles que le loyer ou les frais scolaires. L’argent pour la nourriture sera également prioritaire dans votre budget. Les sorties restaurant doivent figurer sur une autre ligne. Les dépenses liées au loisir sont aussi à distinguer. De cette manière, vous pourrez les éliminer ou les réduire de manière significative.

Essayer d’augmenter les revenus pour couvrir les besoins financiers

Pour avoir une meilleure situation financière, vous aurez deux choix. Vous pourrez réduire vos dépenses de manière à disposer d’une économie. Une autre approche revient à ne rien toucher au budget. Vous aurez tout simplement à essayer de gagner plus d’argent. Vous devriez notamment faire des heures supplémentaires. La piste d’un second emploi serait également envisageable. Une autre technique consiste à investir de l’argent de manière à le faire fructifier. Vous pourrez notamment placer vos fonds dans l’immobilier locatif.

Les tâches du Directeur Financier

Le Directeur Financier a pour fonction d’assurer le bon déroulement des activités financières d’une entreprise. Dans son rôle, il doit être financier, stratège, capable d’élaborer le budget ainsi que la communication relative à ce domaine. La pérennité de l’entreprise dépend en grande partie du Directeur Financier par ses lourdes tâches et responsabilités. Il se doit de rendre compte au Directeur Général de l’avancement des transactions financières, de l’état de santé financier de chaque unité d’exploitation… C’est à partir de ses décisions que l’on met suite aux services des fournisseurs par exemple, les grands travaux à faire. La fonction du Directeur Financier permet aux décideurs de l’acquisition des fonds nécessaires à un temps donné pour le financement d’une activité.

Solutions face aux risques financiers

Le manque ou la limite de fonds destinés ou affectés à une activité déjà entamée entraine des risques financiers. Les économistes face à ces enjeux estiment que ces phénomènes sont les premiers obstacles financiers. Mais les apporteurs de capitaux sont souvent freinés par des problèmes de confiance. Ces problèmes, entre autres, ne sont que le manque d’information, le risque de perdre l’emplacement et la durée d’immobilisation du capital. Cependant, plusieurs solutions sont à envisager : avoir recours à des institutions spécialisées, par exemple la banque qui trouve toujours des solutions face aux risques financiers. La mise en place des procédures appropriées est aussi une balise aux risques financiers, l’accroissement des échanges internationaux, la volatilité des marchés financiers et encore bien d’autres.

Son objectif

Une étude de marché repose sur une analyse qualitative et quantitative des attentes du consommateur à travers un produit ou service, afin d’optimiser la prise de décision marketing. Pour cela, on doit se référer aux 4P du mix marketing basé sur le produit, la place, le prix ainsi que communication. Il faut savoir combiner ces 4 volets afin de satisfaire les besoins des clients et d’atteindre l’objectif de l’entreprise. Il faut donc être en connaissance de tous les attributs du produit à commercialiser, les moyens de communication les plus adaptés pour la promotion du produit, les canaux de distribution à choisir pour bien placer le produit sur le marché ainsi que la fixation du prix du bien ou du service.

Sa typologie

Travailler sur l’élargissement régional, national ou mondial des activités en se positionnant sur plusieurs zones n’est pas bénéfique si la stratégie d’implantation n’est pas optimale. Il faut en effet, cibler un marché par le biais d’une étude préliminaire afin de faire ressortir un répertoire des zones géographiques les plus opportunes, catégorisées par priorité d’investigation et suivant une base d’aspects définissables. À cet effet, il faut donc passer par des analyses exploratoires avec des critères de choix de marchés, bien définis. Les explorations faites serviront pour l’adoption d’une démarche de stratégie pour l’entreprise et pour la guider dans ses orientations stratégiques. Ces actions permettent d’éviter la prise de décision à la hâte, pouvant coûter cher à l’entreprise. En effet, cette précipitation peut donner de fausses interprétations des études et ainsi, des pertes de temps et d’argent pour l’entreprise dans sa recherche de développement. L’étude du marché doit aussi, mettre en avant deux analyses bien distinctes à savoir, l’aspect qualitatif et celui, quantitatif.

L’assurance : une garantie facultative

  La loi n’impose pas la présence d’une assurance prêt immobilier dans votre contrat de prêt. Il s’agit là d’une initiative prise par la banque ou l’établissement de crédit. Par ailleurs, il est formellement interdit de vous imposer une compagnie d’assurance. La loi vous autorise à être libre de vos choix. Par exemple, rien ne vous empêche de signer et de contracter une assurance prêt immobilier chez Assur&me, si c’est ce que vous voulez. Néanmoins, lors du choix de l’assureur, vous devez veiller à ce que son offre respecte les conditions prévues par la banque ou l’établissement de crédit.

Les couvertures les plus sollicitées

Trois cas de couverture sont généralement demandés par les banques : le remboursement par l’assureur en cas de décès, le remboursement par l’assureur en cas de perte d’emploi, le remboursement par la compagnie d’assurance en cas de maladie ou d’invalidité vous privant subitement de ressources. Autrement dit, l’assurance se charge de liquider le remboursement si vous décédiez ou si vous vous retrouviez au chômage ou si vous deveniez incapable de continuer à exercer une activité rémunérée. Ces 3 risques sont les plus susceptibles d’entraîner un défaut momentané de remboursement, voire l’impossibilité de finir ce remboursement.

Le questionnaire médical

La loi autorise l’assureur à vous adresser ce questionnaire médical et vous êtes tenu d’y répondre en y apportant toutes les précisions. Une fausse déclaration intentionnelle peut entraîner une rupture de contrat. Vous ne pouvez alors plus prétendre aux garanties prévues si les risques couverts venaient à se réaliser.

2 formes de sociétés civiles

On l’a indiqué en introduction, vous avez la Société Civile de Placement Immobilier sur laquelle le site scpi-8.com donne des précisions utiles. La SCPI présente des avantages indéniables quel que soit le type pour lequel vous penchez (rendement, valorisation, fiscal). Faites votre sélection avec attention et minutie au regard de vos objectifs, de votre budget et de vos besoins financiers futurs.
Outre la société civile de placement immobilier vous avez la Société Civile Immobilière (SCI). Il arrive qu’on la désigne par Société de Gestion Immobilière (SGI). Le principe est simple : vous vous associez avec d’autres personnes pour acheter un bien immobilier et vous vous constituez en SCI aussi bien pour concrétiser l’acquisition que la gestion. Si vous souhaitez faire partie des professionnels de l’immobilier, c’est la SCI de Construction-Vente qui vous intéressera.

Investissement immobilier et opérations boursières

Investir dans une société cotée en bourse vous fait rêver ? Oubliez la SCPI ou Société Civile de Placement Immobilier pour vous tourner vers la Société d’Investissement Immobilier Cotée (SIIC). En investissant dans cette structure, vous n’êtes pas associé : vous êtes actionnaire et vous détenez des actions. Sachez que cette structure permet de bénéficier, sous condition naturellement, d’exonération fiscale en matière d’impôt sur les sociétés. Enfin, vous pouvez aussi envisager d’investir dans un organisme de placement collectif en immobilier (OPCI). Vous voyez, la SCPI ou société civile de placement immobilier n’est pas l’unique option même si cette dernière est une des plus rentables.

L’étude de l’exception

C’est un audit complet de l’entreprise, non seulement sur son activité financière, mais sur toutes les activités de l’organisation en général. L’auditeur procède à un inventaire général des relevés téléphoniques, des enregistrements informatiques, de l’interrogation des salariés et des tiers. En confrontant les informations, l’auditeur relève ceux qui sont exceptionnels. En effet, il en tire qu’à chaque exception se cache un risque.

Vérification des pièces justificatives

Chaque transaction enregistrée dans la comptabilité de l’entreprise doit avoir une pièce justificative. Le montant doit être exact et les entités concernées par les échanges monétaires doivent pouvoir être contactées pour approuver la véracité des informations. Dans le cas contraire, il est probable que la fraude comptable existe surtout s’il s’agit de nombreuses transactions non justifiées.

Vérifiez tous les enregistrements fictifs

L’identification des fraudes comptables est un travail minutieux. En effet, les falsifications peuvent aller au-delà des fausses factures et des prestations irréelles. Cela peut aller de faux contrats d’embauche pour justifier le paiement de salaires d’employés fictifs, le paiement d’honoraire de consultants fictifs, les jetons de présence et autre.

Détecter le fractionnement des opérations

Certaines grandes entreprises déploient de grands moyens afin de fractionner ses opérations comptables. Elles inventent des sociétés fictives pour créer des transferts de fonds, des caisses noires afin de brouiller l’enchainement de ses flux financiers. De ce fait, il est important de vérifier l’existence de ces entreprises coquilles pour évaluer la transparence des transactions.